Personal pages — Marc Joos (old posts, page 5)
Marc Joos' personal pages
2021-04-02-up
Godspeed You! Black Emperor, le meilleur groupe du monde, vient de sortir (aujourd'hui), son tout dernier album. Je n'en suis qu'au premier titre (bon, OK, qui fait 20 minutes), mais c'est très, très bon. Venez vous aussi vous reccueillir :
2021-03-30-up
Comme hier je faisais encore l'homme-sandwich (mais que je n'ai pas eu le temps de poster quelque chose), je vais (encore) vous parler de mon T-shirt et de l'excellent groupe Gold (rien à voir avec le groupe français des années 80). Gold, c'est du post-punk un peu pop et pas mal sombre avec des plans très black metal par moment (un soupçon de blast beat, une dose raisonnable de triton) ; le résultat est assez cool (avec ce côté pop et dansant et ce côté bien frontal) ; le dernier album est un de mes albums préférés de 2019.Bref, Taken by Storm, de Gold :
2021-03-26-up
Tiens comme mercredi je faisais l'homme-sandwich pour le groupe avec mon super T-shirt All We Love We Leave Behind, et qu'on est vendredi-tout-est-permis, je vous propose un petit Converge pour terminer cette semaine. Converge est un groupe maintenant mythique de chaotic hardcore (ils jouent vite, ont des rythmiques qui partent en cacahuète avec des breaks dans tous les sens, ça gueule, c'est dissonnant, bref c'est le pied), leur quatrième album Jane Doe étant un monument du genre et celui qui les a propulsés au rang de groupe de légende. Jacob Bannon, le chanteur, est aussi graphiste « à la ville » et s'occupe de tous les visuels du groupe (Jane Doe est là aussi mythique, et la pochette de All We Love avec les phases de la Lune est ouf, une des pochettes préférées). Kurt Ballou, guitariste du groupe, est aussi un producteur de renom qui a enregistré pas mal de disques importants. Bref, voici Precipice/All We Love We Leave Behind (Precipice fonctionnant comme intro au morceau titre), sur l'album du même nom. L'un de mes morceaux préférés du groupe, l'intro du morceau est assez dingue avec ses grosses lignes de basse, la batterie qui vient rouler au-dessus et ce riff entêtant qui se rajoute (c'est probablement un des morceaux les plus mélodiques du groupe, si si) avec un peu de triton ensuite, pour faire bonne figure avant l'explosion (de violence) du refrain. Ça s'écoute très bien en boucle :
2021-03-18-up
Je n'avais pas fini ma semaine fusion ! Du coup je reprends là où je m'étais arrêté, avec du psyché stoner/soul (et deux musiciennes, au chant et à la batterie). Ça groove bien, c'est lourd juste ce qu'il faut et ça met de bonne humeur :
2021-03-10-up
Aujourd'hui Algiers, groupe d'Atlanta qui mélange post-punk & soul (surtout grâce au chanteur/multi-instrumentiste Franklin James Fisher). À noter la présence du batteur de feu Bloc Party derrière les fûts (qui a rejoint le groupe au moment de la sortie du premier album). Ils ont sorti trois albums à ce jour, le dernier en 2020 ; tous les trois sont excellents. Voici un extrait de leur premier album (peut être le plus post-punk/industriel) :
https://www.youtube.com/watch?v=vQAfpw5ZlJ8&list=OLAK5uy_nyWa93nR7BAXPjArWHUNy5sMJL2yG79LI&index=6
2021-03-09-up
Je reste sur ma thématique fusion de la semaine ; j'avais déjà balancé du Zone Libre, projet de Serge Teyssot-Gay avec des rappeur⋅ses dont Casey, voici le nouveau projet de Casey avec Marc Sens dans le prolongement de Zone Libre : Ausgang. Fusion rock-rap a son meilleur niveau avec le flow et les paroles mordantes de Casey :
2021-03-08-up
Qui a dit que seul le vendredi, tout était permis ? Histoire de commencer la semaine en saignant des gencives, je vous propose de remonter 13 ans en arrière avec le groupe Genghis Tron, qui a eu la bonne idée (!) de faire se rencontrer du grindcore (un sous-genre issu du metal extrême/hardcore réputé pour sa brutalité et sa rapidité (You Suffer de Napalm Death fait 1.5 secondes)) et ambient electronic (donc à peu près à l'opposé du grindcore) ; sur ses premiers albums le groupe n'avait d'ailleurs pas de batteur. Le résultat est détonnant, probablement un des albums qui m'a le plus marqué en 2008 et un des rares de cette époque que j'écoute encore relativement régulièrement. Genghis Tron, Board Up The House, sur l'album du même nom ; l'alternance de parties quasi-prog et de déferlements de brutalité est saisissante (je conseille aussi très chaudement « Recursion/I won't come back alive » sur le même album, longue progession ambiante qui explose en plein vol avec un riff & une rythmique hypnotisants) :
https://www.youtube.com/watch?v=GMJWgInNEfQ
Ils viennent d'annoncer la sortie d'un nouvel album (a priori dépourvu de sa composante grind), ce qui est une des meilleures nouvelles de ce début d'année.
2021-03-05-up
Je termine la semaine de reprises en restant dans la continuité d'hier avec une autre reprise de Black Sab', ce coup-ci par un duo dont j'avais déjà partagé un titre précédemment : les Dresden Dolls. Iels reprennaient fréquemment War Pigs en live, et Tony Iommi approuve probablement ce qu'Amanda Palmer arrive à faire avec son clavier (et bon, sinon ce n'est pas difficile de faire mieux que ce bon vieux Ozzy pour le chant) :
https://www.youtube.com/watch?v=WimY82SpGhY
Ah et ne vous étonnez pas, la chanson reprend vers 3:00 parce qu'iels sont parti⋅es un peu trop vite (ça a l'air d'être un classique du groupe, quand je les avais vu⋅es iels avaient fait ça sur Girl Anachronism).
2021-03-04-up
Je continue avec les reprises en mode acoustique avec Emel, une chanteuse tunisienne que vous avez peut être entendue au moment du Printemps Arabe. Ses derniers albums sont plutôt électro, elle a collaboré avec Sigur Rós ou Björk, bref, elle fait des trucs cools. Et en confinement en 2020, elle a enregistré un album, à moitié composé de reprises acoustiques en mode guitare/voix. L'ablum est vraiment cool ; en voici donc un petit aperçu avec sa version de Sabbath Bloody Sabbath (de Black Sabbath m/ ) :
2021-03-03-up
Je vais rester sur ma lancée et la thématique reprise, avec une chanson bien connue reprise en piano-voix par Tori Amos, une pianiste/chanteuse de talent (je balancerai d'autres titres d'elle dans le futur, c'est à peu près sûr). Le titre est en bonus sur son premier album qui est une pépite de pop-rock classieux, et qui n'est plus tout jeune (sorti en 1992) :